L’exposition guide les visiteurs à travers une série de peintures emblématiques réalisées à partir de 1955, année où Chu s’installe définitivement à Paris, au plus près de l’avant-garde occidentale.
• Près de 50 oeuvres sur toile majeures présentées, réalisées entre 1951 et 2004 et issues de collections privées et publiques.
• Un tiers de ces peintures n’a jamais été exposé.
• Aucune n’a été exposée au cours des 10 dernières années (à l’exception de celle du Musée d’art moderne de Paris « Composition N°228 » – 1966).
• L’exposition dévoile un paysage marin « Au bord du Jialing » datant de 1951, rare témoignage de la production de l’artiste avant son arrivée à Paris.
• Deux tableaux de 1956 : « Sans Titre » et « Vue lointaine d’une ville » , ont été réalisés dans son premier atelier parisien rue Lhomond , une toute petite pièce qui lui servait à la fois d’habitation et de lieu de vie et dans lequel il a vécu deux ans.
• Un très grand format de la série « Neige » : « Profusion hivernale » – diptyque – 200 x 500 cm – 1988.
Chu Teh-Chun . In Nebula c’est aussi :
• Un temps record de seulement 10 mois pour concrétiser l’exposition rétrospective à la Fondazione Cini et pour l’édition d’une nouvelle monographie consacrée à Chu chez Gallimard.
• Plus de 20 entreprises mobilisées pour permettre la concrétisation de ces deux projets.
• Plus de 100 personnes qui ont travaillé sur l’exposition et la nouvelle monographie.
• 6 semaines de travaux pour réaliser la scénographie à la Fondazione Cini.
• Plus de 400 m2 de cloisons pour la scénographie.
• Plus de 40 spots d’éclairage.
• Matériaux de construction et oeuvres ont été livrés par bateaux.
Vidéo : Montage de l’exposition – vidéo timelapse © Fondation CHU Teh-Chun
Photos : Montage de l’exposition © Fondation CHU Teh-Chun
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