Le nouveau Hors Série - Connaissance des Arts, consacré à CHU Teh-Chun, est disponible dès maintenant, en version française et en version anglaise.
« L'artiste absorbe ce qu'il voit dans la nature et l'affine dans son esprit, et c'est la puissance de l'imagination de l'artiste, sa sensibilité et son caractère intérieur qui sont révélés sur la toile. C'est là que les concepts de la peinture chinoise et de la peinture abstraite se rejoignent de manière très nette ». CHU Teh-Chun
CHU Teh-Chun accomplit la synthèse idéale entre la peinture chinoise classique et l’abstraction occidentale dans un style très personnel, il repousse avec grâce les limites du réel et de l’irréel et réussit à réconcilier avec volupté la peinture, la musique et la poésie.
En 1997, CHU Teh-Chun est élu à l’Académie des Beaux-Arts de Paris, premier français d’origine chinoise à siéger sous la coupole. « Il est le seul peintre de sa génération à être allé aussi loin dans sa recherche pour créer une symbiose de ses deux cultures » explique François CHENG, poète, essayiste et romancier, grand ami de CHU. Dans la tradition de la peinture chinoise, CHU Teh-Chun transcrit ses pensées et ses émotions en mettant en scène l’harmonie entre l’homme et la nature. Grâce à sa découverte de la peinture occidentale, dès 1955, il se libère de la figuration, enrichit sa palette d’une immense variété de nuances devenant maître dans l’art de combiner les couleurs et intègre la lumière dans ses tableaux.
Artiste prolifique, il a réalisé plus de 2.500 huiles sur toiles, des œuvres sur papier, des lavis, des calligraphies et des céramiques.
Pour connaître plus sur l'artiste et son parcours : Connaissance des arts - Hors Série - CHU Teh-Chun - H.S N°929.
Rédacteurs de ce numéro : François Cheng de l'Académie française; Jerome Coignard, journaliste ; Yolaine Escande, directrice de Recherche au CNRS; Annabelle Gugnon, critique d'art; Berenice Geoffroy Schneiter, critique d'art; Hortense Meltz, journaliste.