Organisée avec le soutien de la Fondation CHU Teh-Chun et de la Fondation Cini, sous le commissariat de l’historien de l’art Matthieu Poirier, il s’agit de la plus importante exposition consacrée ces dernières années à ce peintre franco-chinois qui fut l’un des acteurs essentiels de l’abstraction gestuelle, aux côtés de Hans Hartung ou Helen Frankenthaler.
Riche de prêts exceptionnels comme celui du Musée d’art moderne de Paris, l’exposition guide les visiteurs au sein d’un ensemble de tableaux emblématiques réalisés à partir de 1955, année où Chu s’installe définitivement à Paris, au plus près des avant-gardes occidentales.
Une nouvelle monographie sur l’artiste, publiée aux éditions Gallimard par Matthieu Poirier, accompagne l’événement.
En quelques chiffres :
Un travail en lien avec les associations vénitiennes a permis de planifier une réutilisation des matériaux à l’issue de l’exposition.
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